Yayi Boni n’était que le dernier avatar de la kleptocratie béninoise. Sa dernière version subtile, technocratique et savamment mal intentionnée. Mais, Dieu sait qu’il n’en est pas l’ultime. D’autres versions inédites, comme des diables s’agitent déjà et ne demandent pas mieux que de révéler au grand jour, l’espace d’une élection, les figures retorses de leurs criminelles intentions. Ngosi Sikelel' iBénin !
Amida Bashô
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