Pierre Simon Adovelandé, hors de prison, ne peut choisir de prendre la poudre d’escampette, de disparaître dans la nature. La justice juge sur pièce. A l’image de saint Thomas qui a estimé nécessaire de voir avant de croire. Ici, il s’agit de rendre justice à certains de nos cadres sur leur valeur intrinsèque. Nous les connaissons avant qu’ils ne fassent l’expérience de la prison. Nous n’avons pas affaire à des voyous. Pierre Simon Adovelandé est de ces cadres.
Enfin, la prison peut abîmer davantage qu’elle n’édifie. Evitons, par la prison, d’abîmer notre toute première richesse, l’homme, la ressource humaine. Ce ne sont pas avec des cadres brisés, frustrés, humiliés que nous construirons le Bénin de nos rêves.… Dixit Jérôme Carlos
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