Au nom du passé médiocre de nos politiques ; au nom de la corruption et de la misère qu’aucune politique dynamique n’est venue soulager depuis des décennies, on a désiré le changement. Mais doit-on accepter n’importe quoi au nom du changement ? Et si le changement n’était pas dans les hommes politiques mais dans les cœurs et le peuple ? Car un bon changement avec le même homme au cœur purifié ne vaut-il pas mieux qu’un mauvais changement avec un inconnu au cœur impur ?
Alao Bissiriou
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