Comme un prophète de malheur, et dans un éditorial, aux relents passablement ordurier, Roger Gbégnonvi proclame la mort de l’UN avec une hargne douteuse, qui tient plus du mercenariat de plumitif que de la conviction sereine d’un observateur lettré. Depuis ses frasques politiques et ses zigzags éthiques, le plus agité du bocal de la Société si vile a pourtant mangé son pain blanc en termes d’autorité logique ; mais au lieu du profil bas, le verbe pompeusement haut, il se livre à un exercice d’aboiement et de vaticinations infernales ; et selon un décret furibond, s’autoproclame juge des référés : mais de quelle référence se réclame-t-il ? “Qui l’a autoproclamé… ?” comme le dirait l’autre…
Aminou Balogoun
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