Pour l’instant, nous n’avons pas fini de prendre les dispositions nous permettant de laisser le cortège du président Houngbédji s’ébranler sur les 460 km qui séparent Porto-Novo de Parakou. Le gouvernement ne nous a pas dit non plus qu’il prenait, comme c’est le cas dans tous les pays du monde, des mesures spéciales pour renforcer la sécurité des personnalités menacées afin de répondre spécialement aux attaques physiques dont nous avons été informés. Nous n’exagérons rien, mais nous prenons au sérieux les renseignements concordants qui nous parviennent. Dixit Joël Aïvo
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