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Ebola : Governor Fashola Babatunde Reassures Lagosians

Dear Lagosians, As you must now be aware, we are facing perhaps our biggest challenge to public health and the safety of human lives at this moment with the discovery of the Ebola virus in our state. This poses a threat to the primary purpose of our Government which is to save lives. This address has become necessary to respond to a series of text messages, e-mails and telephone calls that I have received in order to reiterate some of what you may already know, to share information about what you may not know, and to keep everybody safe. This has become, moreso, in the light of allegations that are making the rounds, either that victims are being neglected, or that a useful drug or vaccine is being rejected or that there is a shortage of funds. I wish to state very categorically that none of these is true. What is true is that we should perhaps never have been in this situation, but we are now in it. What is true is that the Ebola virus did not break out from within Nigeria, it was imported into Nigeria. What is true is that we have followed all the contacts that we know who have had primary and secondary contacts with the patient who imported the virus into our state, or with people who had contact with him.

Nigeria : L'Épidémie du virus Ebola - une Approche Pastorale

Dans l’ambiance de la crainte grandissante d’une propagation du virus Ebola à travers le Nigeria, les prêtres catholiques ont reçu ordre d’ignorer le rite traditionnel de la paix pendant la messe. Le rite de la paix, aussi connu comme signe de la paix, consiste à serrer la main des voisins ou collègues membres de la congrégation. Selon le site Catholique en ligne, le signe de la paix est destiné à la communion religieuse et à la charité mutuelle entre les membres. Dans un communiqué publié par l'archevêque catholique de Lagos, Adewale Martins, "intitulé: L'épidémie de virus Ebola - une approche pastorale, M. Martins a déclaré que le rite était facultatif. « Prenant en considération le fait que ce rite est facultatif, nous allons désormais l’ignorer, c’est-à-dire ne pas inviter les gens à offrir le signe de la paix. Lorsque vous arrivez à ce rite, ignorez-le. A noter également, que la récente circulaire de la Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements va dans le même sens quand il a déclaré: "Il est tout à fait légitime d'affirmer que ce n'est pas nécessaire d'inviter "mécaniquement " à échanger le signe de paix » a-t-il dit . L'archevêque a invité les prêtres à maintenir la méthode de la main à la bouche lors de la distribution de la Sainte communion jusqu'à nouvel ordre. Il leur a cependant conseillé d'être attentifs et de ne pas laisser leurs mains toucher la langue des communiants. Mgr. Martins a déclaré que les écuelles d’eau bénite habituellement placées à l'entrée des églises doivent être enlevées afin de ne pas donner prise à la propagation du virus. De même a-t-il invité les prêtres à maintenir des précautions supplémentaires lors des visites aux malades à domicile et à l'hôpital, notamment veiller à laver leurs mains avec des antiseptiques et des désinfectants après le rite de l’extrême onction aux malades. L’archevêque Martins a également demandé aux prêtres d’exhorter les responsables de l’aumône à porter des gants. Binason Avèkes

Nigeria : 100 Jours de BOKO HAREM

Afrique : Le Bâton et la Carotte du Régionalisme

Mon Idéo Va Court, Vole et Tombe sur… :

Nominations Assistées par Ordinateur

Ce qu'il aurait fallu pour que les États africains se développent, c'est que la politique de gestion des cadres soit assistée par ordinateur. Ainsi, pour pourvoir à un poste, les personnes intéressées devraient publiquement se porter candidats. Et elles seront soumises à un examen de compétence dont les questions et les modalités seront déterminées par ordinateur, et corrigées par ordinateur. Ainsi, à la fin, on aura  «The right man at the right place ». Au lieu du népotisme et du régionalisme qui sont de règle. Au lieu que le président de la République qui crève d'envie d'être réélu ou populaire, use de son pouvoir de nomination pour susciter une perception favorable de sa personne dans des régions initialement peu enclines à l'élire. Ou, au contraire utilise le pouvoir de nomination pour renforcer l'adhésion naturelle d'une région qui lui est acquise et qu'on appelle son fief. Ainsi, si au Bénin, Yayi Boni est très porté sur cette deuxième voie du népotisme régionaliste, par laquelle il bombarde toutes sortes de Nago ou de soi-disant nordistes dans les secteurs les plus reculés et les plus improbables de l'Administration, des sociétés d'État et partout où existe un petit pouvoir de directeur à exercer, une jouissance d’Etat à prendre, tel n'est pas le cas de son voisin et coreligionnaire du Nigéria, Goodluck Ebele Jonathan. Actuellement acculé à l'incertitude de sa réélection, après avoir longtemps abusé de la deuxième voie, M. Jonathan a jeté son dévolu sur la

première. Depuis plusieurs mois, il enchaîne nominations et limogeages, les premiers étant en faveur des Nordiques et les seconds frappant de préférence les Sudistes. Les régions où son éligibilité est acquise en raison de l'ascendance ethnique ou religieuse souffrant provisoirement le martyr, tandis que les régions où celle-ci est sujette à caution sont mises à l'honneur dans les nominations et souffrent peu des limogeages. Pour le dirigeant africain, le pouvoir de nomination est une aubaine. Et l'esprit des Africains plombé par l'indigence de l'instruction, est tel qu'il est plus sensible aux signaux ethniques ou religieux envoyés au travers des nominations de quelques individus qu’à la création d'industries susceptibles de donner du travail à la multitude, sans aucune distinction d’appartenance religieuse ou ethnique. Eloi Goutchili

Armées : laquelle Préférez-vous ?